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A-B-C.


"Petit mulot", 2008, acrylique sur toile, 16 x 22 cm.

L’imaginaire est « un système, un dynamisme organisateur des images, qui leur confère une profondeur en les reliant entre elles » Joël Thomas, "Introduction aux méthodologies de l’imaginaire" (1).


A-Expérimentale.

Le petit animal tenu sur un doigt dans la peinture intitulée "Petit Mulot" a-t-il un imaginaire?

S’il y a créativité de l’imaginaire, elle repose en fait sur la reconnaissance d’une force intrinsèque de certaines images et d’une puissance d’animation de l’imagination. Depuis l’Antiquité et surtout à la Renaissance, se trouve valorisée la capacité des images (et donc de l’imaginaire) de vivre par elles-mêmes et d’engendrer des effets propres. Pour Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim, dit Paracelse (1493-1541), alchimiste, astrologue et médecin suisse : « L’âme est une source de force qu’elle dirige elle-même en lui proposant par son imagination un but à réaliser. Les idées que nous concevons deviennent des centres de force qui peuvent agir et exercer une influence. » Alexandre Koyré (1892-1964) dans "Mystiques, spirituels, alchimistes au XVIe. siècle allemand" (2).

L’imaginaire est aussi « le résultat visible d’une énergie psychique, formalisée au niveau individuel comme au niveau collectif » Claude-Gilbert Dubois (3) directeur honoraire du Laboratoire Pluridisciplinaire de Recherches sur l'Imaginaire appliquées à la Littérature ( LAPRIL ).

Les romantiques reprennent cette conception, Le philosophe anglais Ralph Cudworth (1617-1688) (4) parle de “plastic power“ capable de façonner des formes.

« Le vocable fondamental qui correspond à l’imagination, c’est imaginaire. Grâce à l’imaginaire, l’imagination est essentiellement ouverte. Elle est dans le psychisme humain l’expérience même de l’ouverture, l’expérience même de la nouveauté. » Gaston Bachelard (1884-1962) dans "L’air et les songes. Essai sur l’imagination du mouvement" (5).

« Les images apparaissent comme des organismes secondaires au sein de l’être pensant: parasites ou adjuvantes, elles sont comme des monades secondaires habitant à certains moments le sujet, et le quittant à certains autres. Le succès du terme d’imaginaire dans notre période postmoderne, s’explique sans doute aussi par la tendance à faire disparaître le sujet comme auteur de ses représentations, au profit de processus de simples jeux (de textes, d’images, etc.), qui par combinatoire et déconstruction engendrent indéfiniment de nouveaux effets de signification ( Derrida, Deleuze, etc.). Les processus de l’imaginaire renvoient alors moins à une activité autopoïétique qu’à un modèle aléatoire et ludique d’événements de langage et d’images.» Gilbert Simondon (1924-1989) dans "L’imagination et l’invention" (6).

Selon Jean-Jacques Wunenburger, il serait permis même de jeter les fondements d’une nouvelle théorie de l’imagination et de l’imaginaire, qui pourrait être tenus pour des acquis solides.

« ...les représentations imagées ne se ramènent pas toutes à des agrégats de représentations d’origine empirique, reliés par de simples lois associationnistes. L’imaginaire obéit à une “logique” et s’organise en structures dont on peut formuler des lois. » (G. Bachelard, Cl. Lévi-Strauss, G. Durand).

Le caractère opératoire des trois structures (mystiques, diaïrétiques et synthétiques) dégagées et mises à l’épreuve par Gilbert Durand permet même de définir un “structuralisme figuratif”, qui compose ensemble formalisme et significations ;- l’imaginaire, tout en se greffant sur des infrastructures (le corps) et superstructures (les significations intellectuelles), est l’œuvre d’une imagination transcendantale qui est indépendante, en grande partie, des contenus accidentels de la perception empirique. Les rêveries, pour Bachelard, comme les mythes, pour Durand, confirment le pouvoir d’une “fantastique transcendantale”, qui désigne depuis Novalis un pouvoir figuratif de l’imagination qui excède les limites du monde sensible; - les œuvres de l’imagination produisent aussi des représentations symboliques où le sens figuré originel active des pensées ouvertes et complexes, que seule la rationalisation après coup ramène au sens univoque. L ‘imagination est bien une activité à la fois connotative et figurative qui donne à penser plus que ce que la conscience élabore sous le contrôle de la raison abstraite et digitale (P. Ricoeur); l’imaginaire est inséparable d’œuvres, mentales ou matérialisées, qui servent à chaque conscience pour construire le sens de sa vie, de ses actions et de ses expériences de pensée. A cet égard, les images visuelles et langagières contribuent à enrichir la représentation du monde (Bachelard, Durand) ou à élaborer l’identité du Moi (P. Ricoeur). Ainsi l’imagination apparaît bien, ce que Sartre avait entrevu, comme un mode d’expression de la liberté humaine confrontée à l’horizon de la mort (Durand);- enfin l’imaginaire se présente comme une sphère de représentations et d’affects profondément ambivalents: il peut aussi bien être source d’erreurs et d’illusions que forme de révélation d’une vérité métaphysique (7 – 8 - 9).

Sa valeur ne réside pas seulement dans ses productions mais dans l’usage qui en est fait. L’imagination oblige bien alors à formuler une éthique voire une sagesse des images. On imagine pas le structuralisme trouver son origine ailleurs que dans l’étude du langage verbal et écrit, avec les travaux du linguiste suisse Ferdinand de Saussure (1857-1913) (10), qui propose d’appréhender toute langue comme un système dans lequel chacun des éléments n’est définissable que par les relations d’équivalence ou d’opposition qu’il entretient avec les autres éléments. »

B-Structure.

C’est cet ensemble de relations qui forme la structure. Au sens linguistique cette structure se définie comme "une entité de dépendances internes" elle s’oppose à l’atome, les "atomes" de langage qui ne peuvent entretenir de relation de dépendance entre eux, sans elle. Cette méthode d’analyse va s’ériger en système et s’appliqué également aux images (sémiologie de l’image). Le contenu sensoriel de tels éléments linguistiques comme iconographiques serait moins essentiel que leur relation réciproque au sein du système.

Certain non-croyant critique, y on vu alors le schème prophétique du monothéisme, un ethnocentrisme élémentaire, où le dieu unique absolutiste contrôlerait tel une super-structure la totalité de l’ensemble des parties qui y serait complètement soumis, car essentiellement incapable d’intercommuniquer (à la lettre: la religion du livre).

En effet, tout structuralisme repose sur un double statut des structures, à la fois irréel (comme forme abstraite d’organisation) et réel (comme réalisation concrète). Par conséquent, le structuralisme vise à mettre en évidence ces structures inconscientes par la compréhension et l’explication de leurs réalisations sensibles. Il cherche à expliquer un phénomène à partir de la place qu’il occupe dans un système, suivant des lois d’association et de dissociation (supposées immuables - Génèse)

« Si l’activité inconsciente de l’esprit consiste à imposer des formes à un contenu, et si ces formes sont fondamentalement les mêmes pour tous les esprits, anciens et modernes, primitifs et civilisés, comme l’étude de la fonction symbolique, il faut et il suffit d’atteindre la structure inconsciente, sous jacente à chaque institution et à chaque coutume, pour obtenir un principe d’interprétation valide pour d’autres institutions et d’autres coutumes. » Claude Lévi-Strauss (1908-2009) (1).

Par ailleurs, le concept d’imaginaire collectif reste intrinsèquement polysémique. Sur le plan individuel, l’imaginaire témoigne de la subjectivité de la personne. Il appartient à la singularité de l’histoire personnelle.

« Le Moi de notre conscience coïncide avec le Soi "cosmique". » Carl Gustav Jung (1875-1961) (2).

En Grèce antique l’éranos était un repas où chacun apportait sa propre contribution. Gilbert Durand membre du cercle d'Eranos, un banquet de penseurs de tous ordres (on pense à platon ?) qui se tenait à Ascona dans les montagne du Tessin Suisse, est l’auteur de "Introduction à la mythodologie" (3). Ce livre propose une définition de l’imaginaire qui se situe dans "Les structures anthropologiques de l’imaginaire" : « l’incessant échange qui existe au niveau de l’imaginaire entre les pulsions subjectives et assimilatrices et les intimations objectives émanant du milieu cosmique et social » Ainsi cette position postule pour une "genèse réciproque" entre l’environnement matériel et le "geste pulsionnel" et du coup à l’avantage d’écarter le problème de l’antériorité ontologique.

« L’imaginaire est un créateur d’images et de figures. » Gaston Bachelard.

La théorie des "Structures Anthropologiques de l’Imaginaire" (SAI), énonce deux propositions, la première sur l’origine de l’imaginaire, la seconde sur l’organisation de son contenu. Ainsi, l’origine de l’imaginaire est une réponse à l’angoisse existentielle liée à l’expérience “négative” du "Temps humain". De cette angoisse universelle naîtrait l’imaginaire. La théorie des SAI propose une classification sur la base de deux principes: - l’un s’appuyant sur la logique réversible du trajet anthropologique ;- l’autre sur une critique du structuralisme. Elle avance trois structures - c’est-à-dire des groupements de symboles de formes semblables - générales, à vocation universelles (ou anthropologiques) : schizomorphe, mystique et synthétique. Ainsi, l’imaginaire ne serait pas inépuisable, à l’infini. Il se reproduirait, il se répèterait selon des “axes” logiques et isomorphiques (similitudes). L’origine de ces 3 ensembles de l’imaginaire provient des travaux du psychiatre et psychanalyste Françoise Minkowska (1882-1950), à qui nous devons "De Van Gogh et Seurat aux dessins d’enfants" (4).

La structure schizomorphe relève du régime diurne de l’image, les structures mystique et synthétique du régime nocturne. Chaque régime de l’imaginaire possède ses lois d’assemblages des images et ses logiques. L’assemblage dans la structure mystique du régime nocturne se fait sous la conduite d’une logique de similitude ou homéologie, et d’analogie. Dans le régime diurne, les images se regroupent entre elles selon des principes d’identités, ou se repoussent par contradiction ou exclusion. Voilà des explications bien angoissantes pour comprendre pourquoi mon imaginaire d’artiste passe aussi facilement du "jour à la nuit" et du "rêve à la réalité".

Dans le monde connu de ce qu’on appelle l’inspiration créatrice d’un auteur, certains ouvrages s’affirment en noyant l’invividu dans une ethnologie ou anthropologie des sociétés et cultures qui lui sont contemporaines, agglomérant les atomes de l’inconscient, tel que le ferait un poète somnambule découvrant l’Erèbe, divinité infernale née du Chaos et personnifiant les Ténèbres.

Peu d’éthique dans ce milieu obscure, à la merci des aléas conjoncturels où chacun avance au grand jour comme dans "La parabole des aveugles" imaginé par le peintre Peter Bruegel l’Ancien (1525-1569) (5) une détrempe peinte sur panneau de bois (86 x 154 cm.), en 1568 et conservée au Musée Capodimonte de Naples.

« Si la morale, comme l’ont prétendu certains, consiste dans l’effort, la soumission aux idées inculquées, aux conventions sociales, est une attitude qui a moralement peu de prix. Le breaching, qui déstabilise, qui oblige à remettre en question la légitimité, l’utilité, l’intérêt, l’importance de ces conventions, à peser le pour et le contre des acquis mentaux, débouche sur des conclusions dont la valeur morale est plus forte parce qu’elles résultent d’une tentative, souvent pénible, de remise en question. Le breaching, qui fait naître le doute et requiert le courage intellectuel, moral, pour dénoncer la dictature des habitudes, est une procédure qui a une forte composante éthique.» Hubert de Luze dans "L’ethno­méthodologie" (6).

C-Culture et agriculture.

Il semble que la culture comme objet civilisateur soit apparut avec l’agriculture comme objectif de civilisation, éclairées par la flamme éternelle que la divinité du feu sacré et du foyer Hestia se doit d’entretenir constamment.

L’art de se cultiver concerne alors les initiés au culte et à la conservation des mystères qui brûlent l’esprit le transformant en sulfureuses fumées telluriques et hallucinogènes. De même l’art de cultiver concerne les pratiques agricoles et le talent des agriculteurs à faire fructifier la terre qui recouvre l’Hadès. La mort et la vie sont ainsi sans cesse liées dans le cycle immuable des campagnes.

De même l’Art apparaît comme objet civilisateur avec la "techné" comme objectif de civilisation. Chez les Grecs de l’Antiquité, la "techné" désignait le savoir-faire des métiers de l’artisanat ou de l’art, l’action efficace. Elle s’oppose chez Aristote à la "praxis"qui est la sphère de l’action proprement dite, action sous-tendue par une idée vers un résultat[. L’art de se cultiver concernait les initiés au culte de l’ensemencement et de la fertilité de toute création (L’école, la bibliothèque, le musée). L’art de se cultiver concernait les pratiques techniques et le talent des artistes (le chantier, l’atelier, la boutique...) de la ville.

Une vie d’artiste est comme une vie d’agriculteur, réglé autant par le cycle de la nature et de la culture que par les acquisitions de connaissances et l’éducation des pratiques humaines.

Avec la vie disparaît le corps, seul l’ombre va au royaume des morts. C’est un lieu souterrain où règne le dieu Hadès. Les Romains ont donné à Hadès le nom de Pluton et il règne sur les Inferni (1).

Le royaume d’Hadès est l’endroit où toutes les "psychai" vont après la mort. Cependant, ce n’est pas un endroit de damnation éternelle mais plutôt un royaume où toutes les âmes sont retenues comme des ombres sans force ni sentiment, pure présence d’un passé à jamais aboli et qui reprennent amèrement vie quand on les évoque, en général par une libation de sang à même le sol.

L’Erèbe est la région la plus proche de la surface. C’est ici que doivent attendre les âmes dont les corps n’ont pas été enterrés selon les rites pour une période de cent ans. On y trouve également le palais de la nuit, Cerbère, les Furies et la Mort.

Les Enfers sont traditionnellement situés à une extrême profondeur sous la Grèce et l’Italie, s’étendant jusqu’aux extrêmes confins du monde. Ils sont limités par le Royaume de la nuit. Dans les temps antiques, Grecs et Romains s’accordaient sur le fait que toute infractuosité ou caverne insondable devait mener aux Enfers (grottes de Cumes, cap Ténare au sud du Péloponnèse...). On peut, semble-t-il, accéder aux Enfers depuis le monde des vivants par plusieurs chemins ; des entrées se trouvent auprès de l’Averne, du Ténare, et au pays des Cimmériens.

À l’entrée des Enfers se tient le chien de garde aux trois têtes, Cerbère, qui empêche tout mort d’en ressortir (seuls Héraclès, Psyché, Thésée, Orphée, et Enée ont réussi à en sortir et à revenir vivants. Rare sont ceux qui comme Ulysse s’en approche comme dans l’épisode de la Nekyia et s’en retourne à leurs aventures.

L’Île Blanche ou Leucé est un lieu des Enfers , l’une des entrées du royaume des morts. Leucé est une nymphe qui fut aimée d’Hadès Elle voulut se soustraire au dieu, mais celui-ci, pour la garder toujours près de lui, la changea en un peuplier argenté qu’il plaça à l’entrée des Enfers. Perséphone appelée Proserpine par les latins ou Coré est la fille de Zeus et Déméter, fut enlevé par Hadès.

«La Terre sera affamée tant que je n’aurai pas retrouvé ma fille.» criait Déméter. Le soleil décide alors de lui révéler que c’est Hadès qui a enlevé sa fille.

Déméter partit à sa recherche et négligea les récoltes de la Terre. En prenant la forme d’une vieille femme nommée Doso, elle erra pendant neuf jours. Se rendant compte qu’une famine menaçait les mortels, Zeus se décida à envoyer Hermès au royaume d’Hadès pour lui demander de rendre Perséphone à sa mère. Hélas, elle avait mangé six pépins de la grenade offerte par Hadès en guise de dernière ruse pour la garder avec lui, et la tradition voulait que quiconque mangeant dans le royaume des morts ne puisse le quitter. Zeus s’entendit pour que Perséphone passe les six mois cultivables sur la Terre avec sa mère et les six mois du reste de l’année avec son époux.

C’est de ce mythe qu’est né le cycle des saisons dans la mythologie grecque. Mais Déméter n’eut pas que Perséphone comme enfant. Le héros Iasion s’unit en Crète à elle sur une jachère trois fois labourée et lui donna un fils qui fut appelé Ploutos et qui devint la personnification de la richesse. Il mourut foudroyé par Zeus.

« Le vrai sens est que les blés de Déméter, donnés à Iasion aux noces d’Harmonie, sont la source des richesses désignées par Ploutos. » Diodore de Sicile (1er. siècle av. J.-C.) (2).

Voilà pour l’agriculture.

Jean-Bernard Pouchous.

Bibliographie :

A-1-Joël Thomas, Introduction aux méthodologies de l’imaginaire, éd. Ellipses Marketing, 1998.

A-2-Alexandre Koyré, Mystiques - spirituels - alchimistes au XVI e. siècle allemand, éd. Gallimard, coll. Idées, 1971.

A-3-Claude-Gilbert Dubois, L'imaginaire de la Renaissance, éd. PUF, coll. Ecriture, 1985.

A-4-Ralph Cudworth, Jean-Louis Breteau, Traité de morale, éd. PUF, coll. Fondements de la politique, 1998.

A-5-Gaston Bachelard, L’air et les songes. Essai sur l’imagination du mouvement, éd. Corti, 1943.

A-6-Gilbert Simondon, L’imagination et l’invention, éd. de la Transparence, coll. Philosophie, 1965.

A-7-Gilbert Durand, L’Imagination symbolique, éd. PUF, 1989.

A-8-Gilbert Durand, Les structures anthropologiques de l’imaginaire, éd. Dunod, 1993.

A-9-Gaston Bachelard, L’eau et les rêves: Essai sur l’imagination de la matière, éd. LGF, coll. Livre de Poche, 1993.

A-10-Simon Bouquet, Introduction à la lecture de Saussure, éd. Payot, 1997.

B-1-Catherine Clément, Claude Lévi-Strauss, éd. PUF, coll. Que sais-je ?, 2003.

B-2-Carl Gustave Jung, L’homme et ses symboles, éd. Robert Laffont, 2002.

B-3-Gilbert Durand, Introduction à la mythodologie, éd. LGF, coll. Livre de Poche, 2000.

B4-Françoise Minkowska, Van Gogh ; sa vie - sa maladie et son œuvre, éd. L’Harmattan, coll. Psychanalyse et civilisations, 2007.

B-5-Aldous Huxley, The Elder ? Peter Bruegel 1528-1569, éd. Kessinger Publishing, 2007.

B-6-Hubert de Luze, L’ethno­méthodologie, éd. Economica, coll. Poche Ethno-sociologie, 1997.

C-1-Georges Minois, Histoire de l’enfer, éd. PUF, coll. Que sais-je ?, 1999.

C-2-Diodore de Sicile, Bibliothèque historique - tome 1 : Introduction générale, éd. Les Belles Lettres, coll. Universités de France, 2003.

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